MARGIE VA CHEZ ELLE

Aujourd’hui mardi le premier mars je relaxe. Debout à 6h30 quand même. Mon café m’attend. Margie est debout depuis un bout de temps. Après la douche je m’installe sur le balcon avec mon ordi et ma musique. Il pleut. Je suis en retard dans mes textes pour le blogue alors j’écris. J’ai hâte de publier tout ça car j’ai eu des commentaires à l’effet que je n’étais pas très régulier.

J’ai le zoo juste sous mon balcon. Quand ma musique est arrêtée j’entends les croac des oiseaux comme seuls bruits de fonds. Surtout lorsque celui qui leur donne à manger se promène dans l’enceinte. La discipline fout le camp. Ils se mettent tous à crier et Le mynah bird fait des fitfiew sans arrêt (re : Lise Dion).

Margie a reçu un appel de sa famille. Son plus vieux est malade. Il est asthmatique. Je lui donne des pesos et elle va le rejoindre. Elle sera de retour en fin de journée. Demain ce sera sa grande journée. Elle va recevoir ses dents chez la dentiste.

Je regarde dehors et je vois que la marée est montante. Quand elle est basse, la plage est à sec et le fond n’est pas trop appétissant. Par contre, quand la marée est à son haut niveau vers l’heure du dîner, c’est très joli et tentant pour la baignade. C’est notre plage et nos piscines mais il faut payer 120 pesos « per head » pour s’en servir. Je ne crois pas que j’irai souvent. Je ne payerai pas 240 pesos pour faire 10 minutes de baignade. Même chose pour le restaurant. C’est bon mais c’est cher. D’ailleurs, il n’y a pas beaucoup de clients.  

Je n’ai pas parlé beaucoup du bateau que nous avons pris l’autre jour pour faire le tour des îles. C’est l’embarcation typique. Une coque très effilée dans laquelle se trouve le moteur dans la partie la plus large. Deux skis de bambous retenus par des tiges de bambou préalablement courbées. La stabilité est très bonne car les skis empêchent le roulis. L’embarcation ne fait pas de vagues non plus. Une boîte en contreplaqué cache la toilette. Quand on est à l’intérieur il n’y a que notre tête et le tronc qui dépassent. Des bancs et des tapis anti-glissement et c’est tout. Ils en prennent soin car je les vois souvent frotter leur coque à marée basse.

Les embarcations sont effilées, ne produisent pas de vagues et
sont très stables.

Pain oursin vu dans une pâtisserie au centre-ville.

J’ai transféré mes photos de ma caméra vers mon ordinateur. Elles sont toutes à l’endroit. Ça veut dire que seul mon écran viseur est à l’envers. Difficile pour le cadrage mais au moins je n’ai pas à traiter chaque photo lors du transfert. Certaines caméras possèdent également un viseur direct mais moi je n’en ai pas alors faudra faire avec.

J’ai attrapé un coup de soleil sur la cuisse gauche. Un bon. Il me reste un peu de crème aloès du Canada alors je l’utilise. Margie est de retour vers 19h30. On n’a pas faim alors on regarde les Flinstones et on se couche.