Le 6 janvier on décide de prendre une marche. Il veut me montrer le terrain qu’il s’apprête à acheter sur le bord de la mer. C’est une longue marche. Pas de problèmes. Tout le monde nous saluent au passage. Le terrain étant sur une île on entre dans un petit patelin. Ici c’est à gauche et ici c’est à droite. On s’est fourré pas à peu près. On a fait le tour de l’île. Tout le monde nous regarde en se disant c’est quoi ces énergumènes blanchâtres. On s’est même fait offrir de la bière. Une chance que la marée était basse. Ça nous a permis de marcher autour de l’île. Sans ça, impossible.
Pont suspendu reliant l'ïle et le continent |
On finit par trouver l’endroit mais, malgré qu’il y a de la musique dans la maison, le propriétaire n’est pas là. On continue. On achète deux cokes de un litre à 29 pesos (0.70$) chacun et je ne vous dis pas l’odeur qui sortait de ce kiosque. Pouah ! Horrible. La femme qui nous a servi était très souriante mais n’avait qu’une seule dent. Dans le milieu en bas. On vient pour partir et elle nous interpelle. La bouteille … c’est dix pesos. On paye et on part. Pas question de boire un litre de coke avant de continuer.
Rendu à la route on prend le jeepney pour retourner à l’hôtel et John John vient chercher Denis pour le ramener à la maison.
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