Les copains soupent dans leur chambre alors je fais de même. Je prend un salisbury steak, un steak haché finalement, que je fais livrer dans ma chambre. Je prend également une bouteille de vin pétillant italien, un Valsecco, que j’emmène avec moi avec une coupe à champagne.
Je m’installe confortablement devant mon ordinateur en attendant le repas. Ici il y a des fourmis partout. Je suis obligé de laisser mon ordinateur sur la chaise et de travailler en le portant sur mes jambes sinon il est envahi de ces bestioles. À l’extérieur ça ne me dérange pas trop mais j’ai peur qu’elles s’infiltrent à l’intérieur.
Y en a partout sur le bureau de travail à la recherche sûrement de quelque chose à manger. Le souper arrive. Ça doit sentir bon parce qu’elles affluent vers mon assiette. J’essaye de les repousser mais elles trouvent toujours un chemin. Je perd patience.
C’EST LA GUERRE …
C’EST LA GUERRE …
Des centaines de fourmis affluent sur ma patate frite. On peut les voir travailler même si la photo n'est pas très claire. |
Je décide de les piéger en coupant une frite et en la plaçant dans le coin du bureau. Comme ça elles me laisseront tranquille. Ça fonctionne mais il y a des éclaireures qui continuent de m’envahir. Je fais donc un barrage d’eau pour les empêcher de venir sur mon côté et je pichnotte les envahisseuses de l’autre côté. J’ai presque réussi mais le bureau n’est pas de niveau et l’eau s’en va vers le fond laissant de grandes portes ouvertes par lesquelles elles s’infiltrent. Bientôt il y en a des centaines autour de la frite et une autoroute s’est formée entre la frite et l’appareil d’air climatisé. L’idée était de les effoirés quand elles seraient toutes autour de la frite mais je décide de les laisser faire et de voir comment elles opèrent. C’est fou, elles ont transporté la frite au complet dans leur nid en la décortiquant en petits morceaux. Quand le morceau était trop gros elles se mettaient à plusieurs pour le transporter. J’ai laissé aussi un scrogneugneux de mon steak haché qui a été un délice pour eux.
Fatigué de les voir travailler, je vais me coucher …
Salut le beau-frère, quand je regarde la photo des fourmis et ton petit récit, je pense que j'aime mieux des mulots (hi hi hi) C'est super le fun de te suivre dans ton voyage, t'es ma drogue quotidienne, j'arrive très tôt au bureau et la première chose que je fait, sait de lire tes nouvelles aventures. Lâche pas et amuse-toi. Serge a écrit un commentaire hier et ça n'a pas marché, je ne sais pas si ça va fonctionné pour moi. Bye Bye à la prochaine xxx
RépondreSupprimerEh oui ca a marche. Excuse les accents parce qu'ici ils sont pas tres quebecois. En plus j'ai de la difficulte avec la lettre r. Si tu ne comprends pas ajoute des r a quelques endroits et ca devrait marcher hehe. Ici je suis habitue maintenant a communiquer en anglais alors les accents tu vois ce n'est pas necessaire.
RépondreSupprimerJe suis content chaque fois que j'apprends que quelqu'un lit mes histoires et qu'il les aiment. Ca m'emcourage a continuer de la meme facon. Aujourd'hui je ne peux pas publier car ils n'acceptent pas les cles USB ici. Faudra que je trouve un autre cafe internet.
Tu aimes mieux des mulots ? On a aussi des grosses coquerelles des fois. Je peux t'en rapporter si tu veux. Elles seraient bien dans votre grande maison sur le bord du Lac Champlain.
Je ne veux pas en dire trop car il faut que je garde mes surprises pour mon blogue que tu liras plus tard.
Je vous aime et ne lachez pas meme s'il neige, qu'il pleut ou qu'il fait la meme temperature qu'ici mais negative.
Yves